On est samedi, c’est le jour pâtisserie ! Ou en semaine, on prépare les encas du matin et du goûter ?! Cette recette de cookies sans gluten et sans lait est rapide et simple : il faut juste quatre ingrédients ! Elle est particulièrement populaire en pays anglophones (USA, Angleterre, …) car elle utilise le beurre de cacahuètes. Je l’apprécie surtout pour sa simplicité de réalisation. Vous allez voir !
Recettes pour une quinzaine de cookies
Ingrédients
2 œufs
+/- 150 g de beurre de cacahuètes (ça fait 2-3 grosses cuillerées)
+/- 100 g de sucre de canne roux (à adapter selon la quantité de sucre que contient votre beurre de cacahuètes)
80 g de pépites de chocolat (voire plus selon vos préférences et votre gourmandise)
Marche à suivre
Placer tous les ingrédients dans un bol et mélanger jusqu’à obtention d’une pâte homogène et un peu luisante (c’est la preuve que le beurre de cacahuètes s’est bien mélangé).
Adaptation en mugcake
Si vous divisez les proportions en deux, vous pouvez mettre le tout dans une grande tasse, mélanger à la cuillère jusqu’à obtention de la pâte luisante et hop hop hop 2min au micro-ondes (je suis pas fan de cette machine mais c’est la recette américaine pour les mugcakes).
Manger sans gluten et sans lait, c’est un état d’esprit – avant d’être un régime alimentaire – …
Car si nous n’avons pas la foi en nos choix, ce n’est jamais qu’une passe que l’on traverse ou une mode que l’on suit. Personnellement, je mange sans gluten et sans lait par choix. Car je sais que je suis intolérante.
Mes symptômes ?
L’irritabilité a été mon premier : d’une nature plutôt gentille envers le monde, le gluten/lait me transforme en un petit monstre en colère sans raison apparente. Cette irritabilité vient de la perturbation de mes intestins. Considérés comme le 2e cerveau du corps humain par de nombreux spécialistes, ceux-ci sont clairement sensibles à l’absorption de produits tels que le sucre, le lait animal et le gluten.
Ballonnements, flatulences sont des maux qui apparaissent régulièrement chez les humains sans forcément être atteints d’une maladie ou d’une intolérance (quoique ? 🤔).
Une intolérance indétectable
Mon intolérance, je la connais et je l’assume… Mais elle est indétectable pour autrui. Ils ne se rendent pas forcément compte du désagrément que cela engendre pour moi pendant plusieurs jours, que ce soit au niveau personnel, relationnel ou professionnel : inconfort, malaise… peur d’agresser sans contrôle et sans raison.
Une fille difficile ? Ou les obligations d’une gourmande…
Pour mes compagnons de repas, je pourrais même passer pour une fille difficile (puisqu’il y en a dans tout) et qu’en tant que gourmande à la base, je n’apprécie pas particulièrement aller au resto pour manger une salade quand d’autres savourent une délicieuse pizza.
Parfois plus facile dans un autre pays…
Ce régime alimentaire avait parfois plus d’échos favorables dans les restaurants en Angleterre. Là-bas, le « sans lactose » n’existe quasi pas. C’est bel et bien le gluten et/ou les produits laitiers (#dairyfree) qu’on peut fuir, bien plus aisément qu’en Belgique (où il parait que nous sommes trop peu nombreux pour que les restos prévoient quelque chose pour nous).
Une note d’espoir pour finir
Par cette petite confession que je vous partage, je lance mon espoir dans l’univers : que tous les Belges qui mangent également sans gluten et/ou sans lait, par intolérance ou par allergie, aient bientôt plus d’accès à de la nourriture saine et concoctée par des chefs inventifs 😊
C’est grâce à une course rapide au magasin bio le plus proche que j’ai été inspirée pour ce gâteau. Le but était d’en faire un bon sans chocolat pour l’anniversaire de ma grand-mère.
Je vous présente donc ma recette de gâteau au yaourt et aux framboises (comme d’habitude sans gluten et sans lait).
Parfois, une soupe est trop ordinaire pour donner envie de cuisiner. Parfois, juste un peu d’exotisme peut apporter pile ce qu’il faut pour les papilles.
Ingrédients :
2 c. à c. pâte de curry rouge
3 carottes
1 oignon
1-2 pommes de terre
1-2 c. à s. sauce soja (sans gluten, c’est mieux^^)
1 c. à c. bouillon (végétal, c’est top !)
curcuma + cumin
1/2 courgette
Alternative : ajouter du quinoa pré-cuit, des olives vertes, de la coriandre, du lait de coco, du gingembre, …
Marche à suivre :
Vider le milieu de la demi courgette et la faire fondre dans une poêle.
Éplucher et couper les carottes, l’oignon et les pommes de terre en morceaux.
Cuire les légumes avec le bouillon dans environ 1 l d’eau.
Ajouter la pâte de curry, la sauce soja, le lait de coco et les épices.
Selon le goût, rajouter de l’eau, du quinoa, des olives, de la coriandre ou du lait de coco.
Servir tiède.
Bon appétit !
Et vous, que mettez-vous dans vos recettes « thaï » ? 🙂
P.S. : les naturopathes disent qu’il ne faut pas abuser de gingembre… en consommer au quotidien peut avoir des effets négatifs sur votre tonus 😉
Vous aimez les patates douces ? Vous aimez les tartes ? Pourquoi ne pas combiner les deux ? Un fondant aux patates douces façon Valérie Cupillard combiné avec de la pâte ? Cela donne une super idée dessert/petit déjeuner. À vous de voir avec quoi vous la servez !
Ingrédients :
1 pâte feuilletée/brisée sans gluten (best tip: Nature & Cie en fait des super!)
3 « petites » patates douces
2-3 oeufs
4 c. à s. lait
1 c. à c. cannelle
1-2 c. à s. eau de fleur d’oranger
2 c. à s. sirop d’agave
chocolat noir (facultatif)
Marche à suivre :
Éplucher les patates douces et les couper en morceaux.
Le temps de cuisson dépend de la taille des morceaux… à vous de voir ce que vous avez comme temps pour couper ou cuire^^
Cuire les patates douces au cuit vapeur.
Morceaux de taille moyenne : compter 15-20 min… afin qu’ils s’écrasent facilement après cuisson.
Une fois cuites, placer les patates douces dans un plat et les écraser.
Ajouter les oeufs et la canelle, puis mélanger.
Ajouter alors le lait, l’eau de fleur d’oranger et le sirop d’agave. Bien mélanger le tout.
Préchauffer le four (200°).
Étaler la pâte et la piquer à la fourchette dans toute sa longueur.
Verser le mélange patates douces-oeufs-lait-épices-sucre sur la pâte étalée.
Cuire au four (180°) pendant 30 min environ.
Servir chaud ou froid, éventuellement avec du chocolat fondu ou de la glace (végétale) vanille !
P.S. : je suis du genre à improviser mes recettes et proportionner les ingrédients « à pif paf pouf »… n’hésitez pas à adapter les proportions inscrites selon votre goût 🙂
L’autre jour, au marché, on nous a offert trois mangues… Au début, j’étais un peu réticente d’accepter un tel nombre de fruits, vu qu’on est moins nombreux à la maison. Puis, une idée m’est venue : on peut en faire un smoothie… ou « lassi » à l’indienne. Une fois rentrée à la maison, je me suis penchée sur cette idée… peu de recettes de lassi végétal sur notre ami internet. Par contre, les ingrédients essentiels sont clairs : mangue – cardamome – yaourt.
Très simplement il faut donc :
Ingrédients :
1 mangue
2 petits yaourts (à base de soja, par exemple)
1 c. à c. de cardamome (en poudre)
2 c. à s. de sirop d’agave (ou de sucre de canne roux)
Marche à suivre :
Éplucher la mangue et la couper en morceaux.
Attention la taille des morceaux dépend de la puissance de votre mixer/robot 😉
Placer tous les ingrédients dans votre robot mixer
Mixer le tout environ 2 minutes…
Peut-être plus longtemps si votre robot est un modeste mixer 🙂
Variantes :
Si vou n’aimez pas ou n’avez pas de cardamome, la cannelle est une bonne alternative. Et la glace vanille peut remplacer un yaourt (ou deux – ah vous êtes gourmand aussi, alors ? ^^) 😉
Bon appétit !
P.S. : et vous, comment « cuisinez »-vous vos mangues ?
Voici les conseils essentiels pour manger sans gluten au quotidien… et relever ce challenge avec brio.
Suite à mon précédent post sur les raisons de manger sans gluten, je me suis dit que ceux qui sont déjà convaincus ont certainement besoin d’un petit récapitulatif de ce qu’on peut manger sans gluten.
Que peut-on manger en « sans gluten » ?
Cela varie un peu d’un métabolisme à l’autre… il faut tester, mais voici les ingrédients identifiés comme sans gluten :
riz Le riz brun, c’est le meilleur en pâtes ! Le riz des sushis est un riz dit « glutineux », il est possible que vous ayez du mal à le supporter… Attention au riz non-bio : il y a un risque d’OGM (pour ceux qui souhaitent éviter)
pommes de terre En farine, la fécule de pommes de terre permet d’obtenir une meilleure élasticité aux pâtes, sauces, etc.
maïs (en pâtes, éviter les pâtes au pur maïs… attention risque d’OGM aussi)
sarrasin
châtaigne
avoine sans gluten Certains avoines sont sans gluten. Beaucoup de cœliaques peuvent en manger, mais personnellement, mon corps ne supporte pas l’avoine (même sans gluten).
En gros, la farine de riz marche très bien dans les recettes, mais elle est d’autant plus efficace quand on la combine avec une autre : fécule de pommes de terre (ou de maïs), farine de sarrasin (attention ça donne du goût) et farine de châtaignes sont les choix principaux.
C’est toujours à voir avec votre corps, mais voici les ingrédients le plus souvent identifiés comme contenant du gluten :
blé
orge
malt
épeautre Certains intolérants supportent l’épeautre et/ou le petit épeautre, mais il contient du gluten.
riz glutineux
avoine
chips aromatisés (le blé est souvent utilisé avec le paprika et d’autres arômes !)
couscous
pain, pâtes et pizzas
sauce soja
bières
produits industrialisés (souvent du blé, de la farine ou du gluten en liant)
Alors, bon appétit et bon courage dans vos choix !
P.S.: cela fait dix ans maintenant que je gère le « sans gluten » et « sans lait », alors n’hésitez pas à me poser des questions ou demander des conseils 🙂
Manger sans gluten au quotidien, c’est une habitude de plus en plus répandue. Le plus souvent, le choix vient d’une réflexion concernant l’impact de l’alimentation sur le corps… Certains sont diagnostiqués par des médecins, mais beaucoup de gens montrent des symptômes liés au gluten sans que les prises de sang révèlent une sensibilité. En soi, c’est mieux ! Cela veut dire que le corps n’a pas atteint le stade de l’intolérance déclarée, ou même de l’allergie (mes salutations en passant aux courageux cœliaques !). D’après les médias, manger sans gluten est devenu mode… qui se répand partout dans le monde. On désigne souvent les stars qui font le choix « pour suivre cette mode ». Mais, en Europe, il apparaît plutôt que cette « mode » se répande parmi les gens qui souhaitent se sentir mieux dans leur corps. Donc, si vous êtes en phase de réflexion ou si vous cherchez juste à comprendre des proches qui mangent sans gluten, les raisons énoncées ici vous seront probablement bien utiles.
Les symptômes attribués au gluten
Évidemment, les symptômes varient d’une personne à l’autre, mais grosso modo voici les plus populaires qui ont tendance à disparaître en arrêtant le gluten :
Fragilité des intestins (ça peut inclure les flatulences, oui)
Ballonnements après repas
Articulations douloureuses
Faible système immunitaire
Irascibilité et sautes d’humeur
Insatisfaction de son poids
Vous l’aurez compris, ces symptômes sont déjà une raison suffisante pour passer aux farines sans gluten. Donc, en gros, les raisons pour manger sans gluten sont :
Pour être en meilleure santé
Le gluten a un impact direct sur les intestins et le système immunitaire… Vous serez moins sensibles aux virus, bactéries et autres si vous les chouchoutez (autant que possible).
Pour se sentir mieux dans son corps
Vous arrêterez de vous sentir moche par moments. Vos muqueuses cesseront de vous titiller (démangeaisons, nez bouché, etc.)
Pour une meilleure vie sociale
Tout est lié : votre bien-être personnel est directement corrélé aux moments que vous passez en société.
Pour favoriser la biodiversité des plantes
C’est évident, manger sans gluten va vous faire passer du traditionnel blé à toutes les autres farines (voir lesquelles plus bas).
Pour le challenge d’agir différemment
Car, oui, c’est un sacré défi de manger sans gluten, surtout dans la société actuelle où nous sommes tentés facilement par pleins de choses. Pour certains, ne pas agir comme un mouton est gratifiant.
Pour la découverte d’autresproduits très variés Beaucoup ne s’en rendent pas compte, mais changer de céréales/farines dans son quotidien permet de découvrir beaucoup de produits différents. Pour chaque recette, des ingrédients variés peuvent remplacer la farine traditionnelle. C’est enrichissant de découvrir cela (et de booster d’autres économies). C’est toute une aventure de passer au « sans lait gluten » !
Quelques pistes d’explications
Depuis une dizaine d’années, de plus en plus de scientifiques étudient le gluten, ses propriétés allergisantes et les causes chez l’être humain (exemple à l’Université de Sheffield). Certains pensent que tous les humains ne « processent » pas bien le gluten. Il faut dire que c’est une substance collante et que certains organismes ont plus de mal à s’en débarrasser que d’autres…
Dans la population qui mange toujours du gluten, certains ont remarqué qu’ils digéraient mieux les farines plus anciennes (comme le petit épeautre) et/ou les farines complètes (pain gris). Toutefois, les intolérants au gluten n’ont pas forcément de problèmes de digestion, mais plutôt de traitement par les intestins (d’où les flatulences pour certains).
D’ailleurs saviez-vous que certains scientifiques ont identifié les intestins comme le 2e cerveau de l’humain ? C’est le centre du système immunitaire… et s’il ne va pas bien, une mauvaise humeur (voire des émotions) peut vous envahir !
En fait, les intestins sont fragiliséspar les sucres industriels… donc si vous avez (eu) l’habitude de consommer beaucoup de bonbons ou de sodas à une époque, il y a de fortes probabilités pour que vous soyez sensibles au gluten (désolée).
Et les conséquences dans tout ça ?
Des carences ? Aucun risque ! Contrairement à ce qui est parfois exprimé par les médias, manger sans gluten ne va pas développer des manques, carences, ou autre, dans votre alimentation… Maintenant, cela dépend aussi de ce que vous mangez à la place !
Si cibler son alimentation en version gluten était dangereuse pour la santé, les médecins ne le conseilleraient pas à leurs patients. Certains sont mêmes très connus dans le milieu (Docteur Seignalet, par exemple).
Donc, non, remplacer le gluten par des farines sans gluten n’est pas mauvais pour la santé. Cela équilibre même davantage notre alimentation !
P.S.: cela fait dix ans maintenant que je gère le « sans gluten » et « sans lait », alors n’hésitez pas à me poser des questions ou demander des conseils 🙂
Éviter le lait animal au quotidien, c’est une habitude de plus en plus répandue parmi mes ami(e)s. Ce n’est pas que je les ai convaincu à force d’en parler (ce n’est pas mon truc du tout de chercher à convaincre les gens : chacun ses choix 🙂 ). Mais elles/ils ont observé leur corps et réfléchi. C’est un peu une nouvelle mode de nos jours d’écouter son corps et d’adapter son alimentation pour se sentir mieux. Si vous êtes en phase de réflexion ou si vous cherchez juste à comprendre des proches qui mangent sans lait, les raisons énoncées ici vous seront probablement utiles.
Pourquoi ?
Bien que je sois une grande admiratrice de Simon Senek, commençons par les symptômes avant de passer aux raisons. Ils varient d’une personne à l’autre, mais grosso modo voici les symptômes les plus populaires qui ont tendance à disparaître lorsque vous arrêtez le lait animal :
Démangeaisons/irritation de la peau et/ou autres muqueuses
Fragilité des intestins
Ballonnements après repas
Insatisfaction de son poids
Faible système immunitaire
Sentiment d’exploitation et de non-respect des animaux
Photo par Noemi Jimenez sur Unsplash.com
Vous l’aurez compris, ces symptômes sont déjà une raison suffisante pour stopper sa consommation de lait animal. Voyons les raisonsà présent :
Pour être en meilleure santé
Vous tomberez beaucoup moins souvent malade !
Petite anecdote: Quelques temps après avoir éliminé le lait animal de nos repas, une de nos cousines est venue loger à la maison. Quand elle est arrivée, elle avait une gastro. Cela nous a beaucoup étonné mais notre alimentation et les normes d’hygiène dans une telle situation ont été bien utiles : aucun de nous n’est tombé malade pour autant, ET elle s’est rétablie plus rapidement que prévu. D’ailleurs, depuis que nous ne buvons plus de lait, nous n’avons plus de gastro-entérite.
Pour se sentir mieux dans son corps
Vous arrêterez de vous sentir moche par moments. Vous ne vous gratterez plus… parce que vous n’aurez (quasi) plus de démangeaisons.
Pour une meilleure vie sociale
Tout est lié : votre bien-être personnel est directement corrélé aux moments que vous passez en société. Le fait de se sentir ballonné(e) impacte sur le moral et la capacité à supporter les autres.
Pour favoriser le respect des animaux
Bien sûr, le principe éthique des véganes s’étend bien plus loin qu’au lait animal. Mais pour ceux qui n’ont pas le courage (ou qui ont besoin de protéines animales régulièrement dans leur nourriture pour trouver un équilibre de poids), c’est déjà une bonne contribution.
Pour le challenge d’agir différemment
Car, oui, c’est un sacré défi de manger sans lait, surtout dans la société actuelle où nous sommes tentés facilement par pleins de choses. Pour certains, ne pas agir comme un mouton est gratifiant (sans compter les effets positifs sur la santé et le moral).
Pour la découverte d’autresproduits très variés Beaucoup ne s’en rendent pas compte, mais changer de lait dans son quotidien permet de découvrir beaucoup de produits différents. Dans chaque recette, des ingrédients variés peuvent remplacer les produits laitiers. C’est enrichissant de découvrir cela (et de booster d’autres économies). Le beurre peut être remplacé par des huiles différentes selon les plats (olive, coco, arachides, etc.). La crème peut être remplacée par des fruits écrasés, du blanc d’œuf monté en neige ou de la crème végétale : selon les besoins d’homogénéité et de goût, le soja, l’avoine ou la coco sont efficaces. Les laits végétaux, pour mettre dans les boissons, les céréales ou les gâteaux, sont nombreux et peuvent même être confectionnés soi-même ! C’est toute une nouvelle aventure de passer au « sans lait animal » !
Photo de Sambazon sur Unsplash.com
Et les conséquences dans tout ça ?
Des carences ? Le stéréotype veut que dès que l’on cesse de manger ce qui est inscrit dans la pyramide alimentaire, on se retrouve carencé… Mais c’est faux.
En fait, le calcium et les autres vitamines contenues dans le lait animal peuvent être trouvés dans des légumes et féculents. D’ailleurs, c’est la même chose pour les protéines : la viande n’est pas le seul aliment à en contenir. [Je ne sais pas vous donner une source unique pour ces affirmations mais cela m’a été confirmé par des médecins et biologistes].
Wallonie – Agriculture – Apaq W
Vous le savez, les produits laitiers sont une importante part de la pyramide alimentaire. Pourquoi serait-il bon de ne pas suivre cette pyramide ? Honnêtement, je ne souhaite pas entrer dans le débat de QUI est à l’origine de ce maintien traditionnel et d’une telle propagande pour le lait animal, et du POURQUOI [Si cela vous intéresse, jetez un œil à cet article, par exemple ou à ce livre de Thierry Souccar].
Mais depuis plusieurs dizaines d’années maintenant, de plus en plus de scientifiques découvrent des arguments contre une si grande consommation de produits laitiers. Une de ces plus grandes découvertes est simple : le calcium dans le lait de vache n’est pas si facilement assimilable par l’être humain. C’est une donnée que beaucoup de médecins connaissent. D’ailleurs, dès que nous présentons certains problèmes de digestion ou de peau, il nous est proposé de passer au lait de brebis ou de chèvre… voire au lait végétal.
Donc, non, remplacer le lait animal par du lait végétal n’est pas mauvais pour la santé. L’équilibre de l’alimentation est la clé !
Photo by Mariana Medvedeva on Unsplash.com
Le lactose
Parmi certaines études relativement récentes, le lactose (ou sucre de lait) a été identifié comme L’élément perturbateur du lait animal. Ce glucide serait, d’après eux, le seul responsable des maux de digestion chez les intolérants et allergiques.
D’après mon expérience et les observations de mon corps, je peux vous dire que, personnellement, j’ai toujours des réactions vis-à-vis du lait animal, même quand il est sans lactose, peu importe sa forme (lait, fromage, crème). Selon moi, j’ai plus de perturbations qui suivent la consommation de lait de vache, un peu moins avec le lait de chèvre ou de brebis, et un peu moins avec le lait sans lactose. Mais, j’ai toujours des réactions… que je n’ai pas avec le lait végétal (riz, soja, avoine, coco, etc.). Mon choix a été vite fait. De plus, saviez-vous que certains médicaments homéopathiques contiennent du lactose ? Pourtant, je n’ai pas de réactions quand je prends un de ces médicaments. Alors, soit c’est dû à la dose minime qu’ils mettent, soit ce n’est pas vraiment le lactose qui me pose problème dans le lait animal.
Maintenant, cette observation est personnelle. Ce qui apparaît clair pour tout le monde, en revanche, c’est que les produits laitiers sans lactose, c’est un marché pas mal exploité également… qui permet d’éviter de laisser l’industrie laitière s’écrouler complètement.
Le lait de ferme, dans tout ça ?
J’en ai consommé très peu mais il est bien connu qu’il se digère bien mieux frais !
Honnêtement, ma marraine et mon oncle ont une ferme et produisent du lait. Je trouve que le travail qu’ils font est impressionnant. J’espère sincèrement que les exploitations telles que la leur ne se retrouveront pas mises à mal par la consommation croissante de lait animal (même si je crois que le changement fait partie de la vie et qu’il faut parfois s’adapter pour mieux correspondre aux besoins de notre société).
Toutefois, à mon humble avis, si vous souhaitez toujours consommer du lait animal, je vous invite vraiment à vous adresser directement aux petits producteurs locaux, aux fermiers non loin de chez vous. Car le lait du supermarché est trop peu cher pour rémunérer ces gens pour tout le travail qu’ils accomplissent. Et puis, les contacts humains de la sorte sont tellement plus durables que n’importe quelle industrie !
Et vous, quel lait buvez-vous ? Quelle en est la raison principale ?
Comment nettoyer votre corps pour bien démarrez l’année ? Voici 5 actions essentielles pour toute détox :
Levez-vous tôt !
Buvez de l’eau chaude avec un citron !
Prenez des « douches froides » !
Faites du sport !
Adaptez vos repas pour faire le plein de légumes !
***
1. Bien dormir mais se lever tôt
Même si vous êtes fatigués, c’est important de se lever tôt. Quand vous avez vraiment besoin de sommeil, couchez-vous tôt, vous récupérerez votre sommeil plus efficacement et ça ne décalera pas vos journées !
2. Bien boire et commencer la journée avec une eau tiède citronnée
Boire de l’eau chaude (tiède), éventuellement avec du citron et même du gingembre, permet au corps de bien se nettoyer. En commençant la journée avec une telle boisson, vous êtes sûrs que vos cellules se régénèreront bien mieux. Pourquoi de l’eau chaude ? Parce que le corps n’est plus besoin d’élever la température de l’eau pour l’amener à votre température interne… et il peut focaliser cette énergie pour digérer et évacuer les toxines.
D’ailleurs, pensez aussi à boire suffisamment d’eau : au moins 1 l, voire 1,5 l par jour (c’est à vous de définir ce dont votre corps a besoin !). Jetez un oeil à cet article si vous voulez des bonnes raisons de boire de l’eau (et pas d’autres boissons qui contiennent de l’eau).
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3. Se laver à l’eau « froide »
Prendre des douches progressives – tièdes puis froides – permet d’activer votre circulation sanguine. Et quand le sang circule bien, tout va bien. Le mieux est de vous réchauffer un peu puis de descendre progressivement la température de la douche : Commencer par arroser vos pieds, remonter vers vos jambes puis votre abdomen jusqu’à la tête. Le but n’est pas de prendre une douche glacée (et éviter un choc thermique) mais juste de redescendre votre température corporelle. Vous serez aussi bien réveillé(e) et prêt(e) pour une super journée !
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4. Bouger, courir, pédaler, … en bref : faire du sport
Faire du sport, c’est évacuer les toxines et émotions emmagasinées par votre corps lors des fêtes. Cela oxygène le cerveau aussi et permet même de vous inspirer dans vos projets ! J’ai listé d’autres super raisons pour faire du sport ici.
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5. Bien nourrir votre corps (ça veut dire des légumes)
Pendant votre détox, c’est bien d’arrêter le sucre et le chocolat… mais vous n’êtes pas puni pour autant. Vous pouvez très bien prendre un peu de chocolat (ou une galette des rois) en dessert. Vous pouvez prendre un chocolat chaud quand vous rentrez frigorifié(e) par le vent, la pluie ou la neige de ce mois de janvier.
Mais évitez les chips avant le repas & privilégiez les légumes :
– des carottes ou du chou-fleur en apéro, par exemple
– des légumes variés dans les plats. Limitez la quantité de viandes et de produits laitiers : croyez-moi ou non, cela encombre quand même le corps, surtout en abondance comme lors des fêtes. Prenez vos protéines dans les légumes (avocat, par ex) ou les céréales (quinoa, par ex) pour garder votre énergie.
Petite astuce : si vous avez des envies de sucre, c’est souvent un manque de protéines. Et les envies de chocolat, c’est le signe d’un besoin de déstresser, lâcher prise et donc de faire du sport ou du yoga !
Selon vos besoins, vous pouvez poursuivre cette détox 2 jours, 7 jours, 14 jours ou 21 jours. C’est à vous de voir jusqu’où vous voulez aller en écoutant votre corps 🙂
Et vous, quelles sont vos astuces pour nettoyer votre corps ?
Bien boire… c’est avaler au moins 1.5 l d’eau par jour… Pas si simple ? Et pourtant, c’est essentiel ! Voici 5 raisons :
1. C’est super contre la constipation et les démangeaisons !
Un corps bien hydraté signifie des muqueuses bien hydratées. Si vous avez quelques blocages ou chatouillis inhabituels, cela peut juste être dû à un manque d’eau dans votre corps… Je parie que vous n’y avez pas encore pensé ! :p
2. Cela améliore la cicatrisation de votre corps.
De la même façon que les autres muqueuses, la peau mieux hydratée cicatrise généralement bien mieux.
P.S. : le bronzage bien aussi si votre niveau de mélanine est normal^^
3. Cela améliore le système immunitaire.
Un apport régulier d’eau permet au corps de se nettoyer régulièrement et d’évacuer les toxines repérées. Bien hydraté, le corps est plus facilement opérationnel pour se débarrasser des bactéries et virus éventuels que vous croisez ! 🙂
4. Cela régule le poids.
Certains de mes amis m’ont confié que boire suffisamment d’eau les a aidé à perdre du poids et réguler leur masse corporelle…!
5. Cela limite les problèmes de reins (douleurs dans le bas du dos)… Attention tout de même si vous avez des antécédents : votre médecin peut vous conseiller une eau en particulier et une certaine quantité d’eau (pour éviter d’épuiser vos reins).
Si vous êtes ballonnés en fin de repas et que vous buvez régulièrement de l’eau froide pendant et juste après le repas, j’ai une solution pour vous : passez à l’eau chaude (tiède) ou buvez en dehors des repas. Pourquoi ? Simplement parce que votre corps n’aura pas – en plus de la digestion des aliments – à réchauffer l’eau ingérée… !
Le saviez-vous ? Chaque cristal d’eau se modifie selon leur environnement… l’eau réagit à la musique classique mais aussi aux mots que l’on pourrait inscrire sur une bouteille ou carafe ! Le scientifique Masaru Emoto a pu capturer ces impressionnantes variations.
Quand on sait que nous sommes constitués d’au moins 65 % d’eau, imaginez en quoi ces cristaux en nous peuvent se transformer selon les mots et les sons que nous entendons…! Je ne sais pas vous, mais personnellement, ça me donne envie d’écouter et regarder que des choses positives ! :p
Cette fameuse boisson de fin d’année est surtout connue des Européens par les films et séries américaines.
Angela en mode lutin^^
En anglais, ça s’appelle « eggnog » car ce lait est préparé avec de l’œuf.
Jack Hodgins moqueur qui profite de son lait de poule en plein labo…
Toujours intéressée par de nouvelles façons de me changer les idées qui s’apparentent à voyager, j’ai tenté de faire cette recette à ma façon, c’est-à-dire sans gluten, sans lait animal et bio.
Voici ma recette de lait de poule végétal 🙂
Pour 2-3 tasses
Ingrédients :
500 ml lait végétal (soja vanille par ex.)
3 c. à s. crème végétale (soja ou riz —> Soyatoo est une marque parfaite pour ça… mais je dois l’acheter en Allemagne ou en Angleterre pour en avoir !)
Bonnes pincées d’épices : cannelle, vanille, muscade, cardamome et anis
1 jaune d’œuf
2 c. à s. sucre de canne roux (ou sirop d’agave)
Version alcoolisée : 10 cl de gin ou de rhum (à adapter selon vos préférences)
Réalisation
Faire chauffer le lait à feu moyen dans un poêlon.
Ajouter la crème et les épices en mélangeant avec un fouet.
Dans un bol, mélanger le jaune d’oeuf avec le sucre à l’aide du fouet puis incorporer-le au lait chaud.
Ajouter l’alcool si vous le souhaitez.
Remuer 1 min ou 2 de plus… et c’est prêt !
Ça se boit tiède dans une tasse… éventuellement accompagné de biscuits.
Alternatives
La version sans alcool peut être un peu trop épaisse, n’hésitez pas à l’accommoder avec un peu d’eau si vous préférez !
La recette originale indique seulement du rhum, mais j’ai trouvé que le gin fonctionnait bien aussi 🙂
Vu que la recette se termine par l’alcool, les variantes sont possibles pour tout le monde, y compris les BOB et les enfants 🙂
Voilà de quoi mettre un peu de fun à l’américaine en plus dans votre réveillon de Nouvel An 🙂
Joyeuses fêtes et Bonne Année à tous !
P.S.: Je fais de la mousse au chocolat avec le blanc restant 🙂
Aaaaahh que faire avec tata allergique au gluten et neveu allergique au lactose, et tonton accroc à la viande, et nièce végétarienne, et belle-soeur sans sucre ajouté… ?!
Vous vous dites sûrement « mais quel cauchemar de définir un menu pour toutes ses personnes !! » et vous n’avez pas tort. C’est déjà un challenge quotidien quand les enfants commencent à avoir des goûts différents… mais à Noël, avec tous les autres préparatifs, c’est vraiment dur pour la tête.
***
Voici donc quelques idées pour résoudre vos problèmes :
*Structure du menu :s’il y a trop de gens autour de votre table avec des régimes alimentaires différents et que c’est littéralement impossible à combiner, envisager un apéro dînatoire !
L’idée est de préparer vos plats en quantité limitée dans de petits lots (par exemple en verrine). Ceux qui aiment peuvent manger plusieurs verrines et ceux qui n’aiment pas peuvent manger d’autres verrines.
***
*Idées de plats :
Purée de topinambour
Tartare de saumon
Soupe
Poire aux airelles
Purée de topinambour
250 g topinambours
1 échalote
50 ml crème végétale
huile d’olive
sel aux herbes
Éplucher les topinambours.
Cuire les topinambours (15min à la vapeur).
Éplucher et couper l’échalote en petits morceaux.
Faire revenir l’échalote dans une poêle avec de l’huile.
Une fois cuits, dorer les topinambours avec l’échalote.
Assaisonner avec le sel, un peu d’huile et la crème végétale.
Verser le tout dans un plat et mixer.
Tartare de saumon
500 g saumon
1 citron
1 c. à s. vinaigre balsamique
2 c. à s. huile d’olive
Découper le saumon en dés et les placer dans un plat.
Presser le citron.
Mélanger le jus de citron avec le vinaigre et l’huile.
Verser le liquide sur les dés de saumon et mélanger.
Couvrir le plat et réserver au frigo pendant environ 12h.
Soupe de carottes
1 kg carottes
1 oignon
700ml eau
100 g crème végétale
1 c. à s. de bouillon
Éplucher les carottes et l’oignon
Couper les légumes en morceaux.
Placer tous les ingrédients dans une casserole.
Cuire pendant 20 à 25 minutes.
Mixer.
Poire aux airelles
1 poire par personne
50 g airelles
Éplucher la poire.
Couper la poire en deux et retirer les graines.
Cuire la poire
Chauffer les airelles (généralement, nous les trouvons plus facilement sous la forme de confiture chez nous).
Cléa aussi propose de bonnes recettes. Par exemple, j’ai trouvé une bonne recette de tarte au citron meringuée dans un de ses livres… quoique je crois avoir dû changer la farine pour un mélange de farines sans gluten. Généralement, je mets une majorité de farine de riz avec de la fécule de pommes de terre. Si je souhaite que ce soit plus riche, je mets aussi de la farine de châtaignes, et parfois de la farine de sarrasin. Mais ces deux dernières sont très fortes en goût. La châtaigne va bien avec les recettes de Noël, par exemple.
Si vous cherchez de délicieux biscuits sans gluten et sans lactose, Hammermühle est une super marque et vend même en ligne. Mes biscuits préférés sont les Dominosteine.
Que diriez-vous d’un délicieux marbré au chocolat… sans gluten, sans lait animal et faible en sucre ? Le rêve de beaucoup de gens aux régimes alimentaires particuliers ! Pas besoin d’une boulangerie pour éveiller vos papilles, votre four fera l’affaire ! Voici ma recette !
Ingrédients :
300 g farine de riz-châtaignes
100 g fécule de pommes de terre
3 œufs
80 g chocolat noir (85%)
150 g sucre de canne roux ou sirop d’agave
cannelle
vanille
pépites de chocolat
60 ml lait végétal
Marche à suivre :
Verser la farine, la fécule, le sucre dans un saladier.
Ajouter 3 œufs et mélanger le tout.
En attendant, faire fondre le chocolat au bain-marie (c.-à-d. dans un bol en porte-à-faux au-dessus d’eau chauffant dans un poêlon).
Séparer la pâte en deux.
Ajouter le lait végétal, une pincée de cannelle et une pincée de vanille en poudre (ou quelques gouttes d’arôme) dans une moitié de pâte. Bien mélanger.
Mélanger le chocolat fondu à l’autre moitié de pâte.
Préchauffez le four à 200 degrés.
Verser la moitié chocolatée de la pâte en alternance avec la moitié vanille-cannelle de la pâte dans un moule huilé.
Garnissez le tout avec les pépites de chocolat.
Enfournez pendant environ 15 min à 180 degrés.
Alternative végan : remplacez les œufs par 1 ou 2 bananes écrasées (selon vos préférences).
Un poulet spécial un peu chinois… dans une recette sans gluten, sans lait et sans sucre raffiné.
Ingrédients :
3 filets de poulet
2 c. à s. miel
100 ml sauce soja (tamari sans gluten)
1 courgette
1 tomate
huile d’olive ou de coco
sel aux herbes (herbamare), poivre
Marche à suivre :
Couper la courgette en bâtonnets
Faire chauffer une poêle, ajouter de l’huile.
Déposer les bâtonnets de courgette dans la poêle chaude.
Couper la tomate en morceaux. Les ajouter aux courgettes.
Couper le poulet en dés.
Mélanger le miel et la sauce soja dans une assiette creuse (ou un bol).
Faire tremper les dés de poulet dans le mélange miel-sauce soja.
Faire chauffer une autre poêle et y ajouter de l’huile.
Une fois la poêle chaude, retirer le poulet de la sauce soja/miel et déposer les dés dans la poêle.
Récupérer la sauce soja/miel et la verser sur les légumes dans la première poêle.
Laisser fondre les légumes et cuire le poulet dans chaque poêle.
Une fois que tout est cuit, mélanger et ajuster l’assaisonnement (sel, poivre).
Bon appétit !
Petite confession :
À la base, je tentais de faire la recette du poulet au sésame… sans graine de sésame. Il y a énormément de photos comme ça sur Pinterest. Regardez ceci, par exemple :
Alors, j’ai peut-être pas été très chanceuse (trop affamée aux moments où j’ai fait mes recherches), mais je n’ai pas vraiment trouver une recette qui permet de faire coller le sésame et le miel/sauce soja sur le poulet. Du coup, chaque fois, je me retrouve avec trop de sauce soja par rapport au miel et le poulet finit juste par être un peu salé façon sauce soja… Au final, j’ai chaque fois un bon plat. Mais bon, si l’un d’entre vous connaît une façon d’obtenir réellement le poulet au sésame, je suis toute ouïe ! Dites-moi, dites-moi, dites-moi !